Responsable du marché nutrition chez Océalia, Sébastien Forest partage des leviers, parmi lesquels le BEST-a, pour aider les cultures à résister au manque d’eau.
L’accès à l’eau est de plus en plus difficile en Nouvelle-Aquitaine. Pour résister au stress hydrique, la coopérative Océalia explore et travaille différents leviers, du choix des espèces et de la génétique à la gestion du carbone.
Nous travaillons sur des outils de pilotage pour raisonner l’irrigation, et sur des solutions technologiques permettant aux plantes en campagne de mieux résister au stress hydrique. Les phytostérols et le BEST-a ont été identifiés comme solutions supplémentaires pour maintenir de la performance sur les cultures de printemps
explique Sébastien Forest.
Une volonté de déployer le BEST-a
L’intérêt de la coopérative pour le BEST-a tient notamment à l’originalité du mode d’action.
Les phytostérols sont uniquement travaillés par Elicit Plant sur le marché
témoigne Sébastien Forest
L’utilisation des phytostérols a affiché des promesses intéressantes sur un créneau clé qui est la résistance au stress hydrique et qui a répondu présent en termes de résultats d’essais.
Du fait de cette originalité et des performances observées dans les essais, Océalia souhaite développer le BEST-a en cultures.