Stress hydrique

BEST-a: pour un résultat optimal, agissez en préventif !

6-10 feuilles. Tel est le développement végétatif idéal pour appliquer BEST-a sur maïs. « C’est toujours à ce stade physiologique que nous avons constaté le maximum de bénéfice-produit », affirme Antoine Victoria, project manager chez Elicit Plant. Par ailleurs, BEST-a doit toujours être positionné en préventif, au moment où il y a encore de l’eau dans le sol. De meilleurs résultats ont été constatés sur des maïs poussants.

Tracteur appliquant du Best-a sur champ de maïs

Alors que les semis de maïs battent leur plein, l’ombre de la campagne 2022, historiquement sèche, plane sur le développement des cultures. Les phénomènes climatiques extrêmes se multipliant, la gestion des ressources hydriques est dans toutes les têtes. Car si ce printemps 2023, plutôt humide, laisse présager une bonne levée, le maïs n’en reste pas moins une plante exigeante en eau… tout au long de sa croissance.

 

La floraison, stade critique pour l’alimentation hydrique

En effet, dès 4-6 feuilles et jusqu’à mi-montaison, les besoins hydriques des plantes augmentent rapidement. “La floraison est le moment où le maïs est le plus sensible au manque d’eau, pointe Antoine Victoria, en charge de l’évaluation de la performance produit chez Elicit Plant. À ce stade précis, il faut garantir une alimentation hydrique satisfaisante de la culture jusqu’au seuil limite d’avortement des grains, afin de sécuriser le rendement.

 

Davantage de bénéfice-produit sur des maïs encore poussants

Appliquées dans de bonnes conditions, les biosolutions à base de phytostérols permettent aux plantes de passer ce cap. Pour exprimer son plein potentiel, BEST-a doit être appliqué en préventif, plutôt le matin, avec une hygrométrie de 70% minimum et à une température allant de 6 à 25 degrés. Par-dessus tout, il est nécessaire de procéder quand la réserve hydrique du sol n’est pas épuisée, car un maïs poussant réagit mieux au message induit par les phytostérols.

 

Un positionnement idéal de BEST-a à 6-10 feuilles

La priorité reste cependant d’intervenir au stade 6-10 feuilles, “C’est toujours à ce stade physiologique que nous avons constaté le maximum de bénéfice-produit”, affirme Antoine Victoria. Si le protocole d’application reste strictement cantonné à ces recommandations, côté recherche et développement, la start-up Elicit-Plant suit des essais sur ses plateformes de démonstrations. “Un des objectifs, entre autres, est de regarder ce qui se passe avec une application plus précoce dans différents contextes”, avance Antoine Victoria.

 

Appliqués en préventif, les phytostérols retardent le stress hydrique

Positionné en préventif et lorsque l’état hydrique du sol permet encore aux plantes d’assurer leur croissance, BEST-a entraîne une réaction garantie. Appliqué par voie foliaire, les phytostérols permettent aux plantes de modifier leur physiologie en faveur d’une meilleure adaptation à la sécheresse. La biosolution ne se substitue pas à un apport d’eau, mais contribue à une meilleure gestion des ressources encore disponibles pour la culture. BEST-a retarde ainsi les situations de stress hydrique. Son mode d’action se prolonge tout au long du cycle.

 

+5,7 q/ha en moyenne : BEST-a a fait la preuve de son efficacité

Le principe actif de BEST-a provoque une fermeture partielle des stomates qui limite l’évapotranspiration, décrit Antoine Victoria. Le maïs, en optmisant sa consommation d’eau,se trouve moins impacté par le déficit hydrique.” BEST-a entraîne également un accroissement du volume racinaire et une exploration supplémentaire des horizons du sol. Mis à l’épreuve du terrain, le produit a fait la démonstration de son efficacité : consommation d’eau réduite de 20 % et augmentation moyenne des rendements de 5,7 q/ha, une moyenne constatée sur plus de 100 essais entre 2019 et 2022.


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