Tous les 22 mars, la Journée Mondiale de l’Eau nous rappelle l’importance vitale de l’eau douce, pourtant si minoritaire face à l’immense réservoir d’eau salée. Alors que chaque organisme a besoin d’eau pour vivre, les effets déjà visibles du changement climatique sur cette ressource imposent l’adaptation des usages.
A travers le monde, une grande partie de l’eau est utilisée pour soutenir la croissance des cultures, dans le but de garantir des rendements suffisants pour nourrir une population mondiale en constante augmentation.
Des difficultés pour maintenir des rendements suffisants
Portant, les modifications du schéma des précipitations et la baisse des réserves restreignent l’accès à la ressource, pendant que la hausse globale des températures agit sur l’évapotranspiration des végétaux. Autrement dit, les plantes se voient contraintes d’absorber de plus en plus d’eau afin de maintenir leur croissance… alors même que la ressource vient à manquer.
Une problématique directement associée à celle, cruciale, de la sécurité alimentaire. 50% de la production mondiale de calories repose sur quatre cultures essentielles, les céréales, le riz, le maïs et le soja, des cultures qui ont besoin d’eau.