Stress hydrique - Transition agroécologique

Témoignage : « Le gain obtenu avec Best-a maïs représente 3 à 4 fois l’investissement dans le produit »

Exploitant et entrepreneur de travaux agricoles, Patrick Mounier est un utilisateur satisfait du Best-a maïs. « Cette année, j’ai gagné en moyenne 10 quintaux supplémentaires et 200 € de l’hectare, indique-t-il. Le Best-a va faire partie des investissements de base dans toutes mes productions de maïs. » Quant aux nouvelles solutions Elicit Plant pour tournesol et céréales, « si elles ont la même efficacité, je les appliquerai systématiquement », avance-t-il.

Le témoignage de Patrick en vidéo

Installé près d’Angoulême en Charente, Patrick Mounier cultive en propre 400 hectares de grandes cultures. Également à la tête d’une entreprise de travaux agricoles, il travaille ainsi près d’un millier d’hectares. Problème : malgré un accès à l’eau et la possibilité d’irriguer, les cultures sont régulièrement soumises à un fort stress hydrique.

« Chez moi, comme chez mes clients, beaucoup de terrains sont très séchants, explique-t-il. Le seul moyen pour s’assurer une bonne récolte, c’est l’irrigation. Mais étant situé en zone périurbaine, la population locale ne l’accepte pas et les interdictions sont fréquentes. Je coupe donc tout au mois d’août. »

En quête de solutions contre le stress hydrique

À la recherche de solutions, Patrick Mounier s’est tourné il y a un peu plus d’un an vers le Best-a maïs. Le produit est testé sur des surfaces assez importantes. « Dès la première utilisation, j’avais déjà constaté des différences entre les parcelles traitées au Best-a et les autres, mais sans avoir mesuré le résultat final », déclare-t-il.

Souhaitant renouveler l’expérience, Patrick Mounier procède à des tests en bandes dans une terre homogène puis mesure les rendements à la récolte. Verdict : « en culture, les différences n’étaient pas flagrantes, mais au moment de la récolte, le capteur de rendement a clairement montré une différence entre le témoin et les maïs protégés par Best-a », souligne l’agriculteur.

Best-a maïs devient un investissement de base de chaque itinéraire

Résultat : 10 quintaux supplémentaires de l’hectare. « Avec un gain de 200 € de l’hectare en moyenne, cela représente trois à quatre fois l’investissement dans le produit, se réjouit Patrick Mounier. Sans compter qu’il n’y a pas de passage supplémentaire, puisque le Best-a s’associe très facilement à une autre application de l’itinéraire du maïs. »

Best-a maïs fera désormais partie des investissements de base pour toutes les productions de maïs de Patrick Mounier, tant sur ses parcelles que chez ses clients. « Je suis par ailleurs très intéressé par les nouveaux produits Elicit Plant pour tournesol et céréales. S’ils ont la même efficacité, je serai tenté de les appliquer systématiquement », assure-t-il.

PATRICK MOUNIER
AGRICULTEUR , CHARENTE (16)
Au moment de la récolte, le capteur de rendement a clairement montré une différence entre le témoin et les maïs protégés par Best-a.