Stress hydrique - Transition agroécologique

Partout, les témoignages confirment la régularité des bénéfices avec Best-a maïs

La récolte du maïs grain est terminée. Pour tous les producteurs, le bilan est meilleur que celui de la précédente campagne. De nouveau cette année, les utilisateurs de Best-a s’en tirent encore mieux. Certains font état de gains de rendement de + 1 à 3 t/ha. Les témoignages d’agriculteurs satisfaits se multiplient, partout dans le monde. Une belle illustration de la prévisibilité des bénéfices, quelles que soient les conditions pédoclimatiques et météorologiques.

Si les campagnes se suivent, elles ne se ressemblent pas. Une année pourra être marquée par une sécheresse historique, la suivante alterner entre douceur et pluies, à la faveur de la pousse du maïs Dans ce contexte d’une météo aléatoire, quels gains de rendement espérer avec Best-a ?

En 2023, en France, les phytostérols d’Elicit Plant ont cette fois encore tenu leurs promesses : + 5,9 q/ha de gains de rendement en moyenne, souvent davantage, comme cela a été le cas sur la parcelle expérimentale d’Innov-Agri (+15,4 q/ha de gain).

10 quintaux supplémentaires à l’hectare, soit un gain de 200€/ha

Ces excellents résultats sont confirmés par les agriculteurs. Patrick Mounier, céréalier et entrepreneur de travaux agricoles sur la côte atlantique en France, applique Best-a depuis deux ans.

« Dès la première utilisation, j’avais déjà constaté des différences visibles entre les parcelles traitées au Best-a et les autres, mais sans avoir mesuré le résultat. Cette année, au moment de la récolte, le capteur de rendement a clairement révélé le gain. J’ai récolté 10 quintaux supplémentaires de l’hectare, soit 200 €/ha en plus. C’est trois à quatre fois l’investissement dans le produit. Je vais intégrer Best-a pour toutes mes productions de maïs, chez moi comme chez mes clients. Et si les nouveaux produits Elicit Plant pour tournesol et céréales ont la même efficacité, je les appliquerai systématiquement. »

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Témoignage Best-a Mme Azema

Stéphanie et Thomas Azéma ont fait « leur meilleure récolte depuis dix ans » grâce à Best-a maïs

Toujours en France, mais plus au sud, Stéphanie Azéma et son fils, Thomas, font le même retour. Producteurs de grandes cultures (dont une part importante de maïs), l’un et l’autre ne tarissent pas d’éloges quant à l’efficacité du produit :

« Nous avons testé Best-a sans trop y croire, mais les résultats ont été visibles dès les premiers mois. L’homogénéité de la parcelle nous a étonnés. Les panouilles étaient bien formées et sans “bouchons”. Cela arrive quand des accidents climatiques surviennent à des stades clés de la croissance. Là, sur 50 hectares, aucun problème. Les gains ont été exceptionnels. Nous n’avons pas eu d’aussi bons résultats depuis dix ans ! Nous avons récolté 149,9 quintaux sur la partie traitée avec Best-a, contre 120 au niveau du témoin. Économiquement, cela a permis de dégager entre 500 et 530 € de plus à l’hectare. »

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Au Brésil, le produit est aussi « testé et approuvé »

« En moyenne, dans les régions du sud du Brésil, nous avons réussi à obtenir 8 quintaux de maïs supplémentaires grâce à la solution à base de phytostérols », indique Felipe Sulzbach, VP sales & marketing Brazil d’Elicit Plant. Une moyenne qui s’appuie sur les résultats de 90 essais menés en 2023.

L’un des essais a été conduit avec le producteur Cristiano Ulrich, qui exploite une superficie de 220 hectares dédiée à la culture de maïs, de soja, de blé, de haricots, d’avoine et de seigle à São José da Glória, dans la municipalité de Victor Graeff. M. Ulrich a réalisé des expérimentations sur deux surfaces distinctes de cinq hectares chacune, dont l’une était irriguée.

Dans la zone non irriguée, nous avons observé un rendement supérieur de 34,2 quintaux par hectare, une différence significative surtout pendant une année de sécheresse », a-t-il expliqué.

La zone irriguée a également présenté des résultats positifs, avec une augmentation de 7,2 quintaux par hectare – 100,2 quintaux dans la zone témoin et 107,4 quintaux dans la parcelle utilisant la technologie des phytostérols. « La différence s’est avérée satisfaisante, non seulement dans mes terres, mais aussi dans d’autres régions, alors pourquoi ne pas l’adopter ? »a-t-il conclu.

Volodymyr Yakovenko

En Ukraine, Volodymyr Yakovenko a mesuré entre 8 et 9 q/ha supplémentaires

En Ukraine, Volodymyr Yakovenko, céréalier sur 1 500 hectares dans la région de Vinnytsia, l’a expérimenté pour la première fois cette année :

« Après application de la solution, les effets pendant le cycle de croissance des plantes se sont vite révélés. Sur les surfaces traitées avec Best-a, les épis étaient plus grands, avec plus de rangs et plus de grains dans chaque rang. Les feuilles les plus basses étaient aussi beaucoup plus vertes. La récolte nous a permis de constater que le rendement était plus élevé là où Best-a avait été appliqué, notamment sur une parcelle conduite en non-labour : entre 112 et 113 quintaux par hectare contre 104 ailleurs. »

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Sylwia Szymanczak

Pour Sylwia Szymanczak, en Pologne, « Best-a est un véritable atout pour l’agriculture »

Chargée du suivi et de la mise en place des essais en Pologne, l’agronome et agricultrice Sylwia Szymanczak fait le même constat : quel que soit le contexte pédoclimatique, Best-a maïs agit sur le métabolisme des plantes et garantit une croissance optimale.

« Pendant cette campagne, j’ai pu observer des différences entre les maïs ayant reçu du Best-a et les autres. Tandis que les parcelles témoins arboraient des feuilles brunies, enroulées et rugueuses, témoignant d’un manque d’eau, les feuilles des maïs traitées avec Best-a restaient très vertes et ouvertes. En Pologne et particulièrement au centre du Pays où les conditions sont sèches, nous subissons chaque année d’importantes pertes de rendement. En 2022, année marquée par le manque d’eau, nous avons perdu en moyenne 5 tonnes par hectare. Pour moi Best-a est un véritable atout pour les agriculteurs. »

Sans surprise, ses dires sont confirmés par les résultats d’essais polonais de cette année. Deux d’entre eux, situés à Smolice, affichent même des gains de rendement exceptionnels de 25 et 28 quintaux par hectare.

Des retours terrain qui confirment Best-a comme solution pour sécuriser les rendements, quel que soit le contexte pédoclimatique

L’année dernière, d’autres témoignages étaient venus accréditer l’efficacité de Best-a, en France, cette fois dans un contexte de très fort stress hydrique. Alban Chimbault, chef de cultures avait constaté un gain de 25 quintaux par hectares. Guillaume Delusset avait quant à lui mesuré un gain de rendement de 10 % grâce à Best-a, alors que sur de meilleures terres, d’autres maïs non-protégés avaient souffert de la sécheresse.

L’ensemble de ces retours issus du terrain le confirme : Best-a maïs est bien la solution pour sécuriser ses rendements. En effet, même en l’absence de sécheresse prolongée, les cultures sont soumises à des épisodes de stress. Selon la capacité des sols à retenir l’eau, quelques jours de sec suffisent pour qu’une culture soit impactée par le manque d’eau !

Dans un contexte où le changement climatique contribue à davantage d’espacement des pluies, ce risque est plus fréquent. Les rendements peuvent alors rapidement dégringoler, particulièrement si ce stress intervient à un stade sensible. Best-a est alors l’allié idéal pour passer le cap en douceur.