Stress hydrique - Transition agroécologique

Témoignage : En Ukraine, Volodymyr Yakovenko expérimente avec succès Best-a maïs

En Ukraine, où Elicit Plant est solidement implanté, de plus en plus d’agriculteurs s’intéressent aux moyens de contrer les effets du réchauffement climatique. Volodymyr Yakovenko, céréalier dans la région de Vinnytsia, a ainsi testé Best-a sur 10 hectares de maïs. Résultat : entre 8 et 9 quintaux supplémentaires à l’hectare. « Même si le conflit perturbe les marchés, il y aura forcément un gain économique », estime l’exploitant ukrainien.

Volodymyr Yakovenko

Même en temps de guerre, l’Ukraine reste un grand pays producteur de céréales à paille, de maïs, de tournesol et de colza. Si le conflit qui l’oppose à la Russie perturbe actuellement les marchés, ce vaste territoire continental souffre aussi d’un autre mal : le changement climatique. Agriculteur dans la région de Vinnytsia, au sud-est de Kiev, Volodymyr Yakovenko témoigne ainsi de la diminution constante des précipitations : « Notre entreprise exploite ces terres depuis plus de 20 ans. D’habitude, pendant la saison du maïs, il tombe entre 300 et 380 mm d’eau, ce qui est considéré comme satisfaisant. Mais, ces dix dernières années, nous observons un manque d’humidité dans nos champs, dû à des pluies de moins en moins abondantes. Chaque année, les sols s’assèchent de plus en plus. »

 

Des épis plus grands, avec plus de rangs et plus de grains dans chaque rang

L’exploitation de Volodymyr Yakovenko est vaste : 1 500 hectares, principalement cultivés en maïs, céréales, colza et tournesol. Malgré la bonne qualité des sols, la sécheresse impacte les rendements et Volodymyr Yakovenko recherche activement une solution pour limiter les effets du stress hydrique et sécuriser ses résultats. Sur les conseils de son distributeur, le céréalier teste Best-a maïs pour la première fois en 2023. Le produit est appliqué sur 10 hectares.

« Nous avons expérimenté Best-a maïs sur une parcelle travaillée d’une part en labour classique, de l’autre en non-labour. Les effets pendant le cycle de croissance des plantes se sont vite révélés intéressants. Sur les surfaces traitées avec Best-a, les épis étaient plus grands, avec plus de rangs et plus de grains dans chaque rang. Les feuilles les plus basses étaient aussi beaucoup plus vertes que celles des maïs non traités. »

 

Des résultats encore meilleurs en non-labour

Ces observations sont caractéristiques de l’effet des phytostérols, qui constituent le principe actif du Best-a. Par simple application foliaire, ces molécules naturelles permettent aux plantes de modifier leur physiologie en faveur d’une meilleure adaptation au stress hydrique. La masse végétative de la culture se maintient et les composantes du rendement sont préservées durant tous les stades importants du cycle de croissance (implantation, floraison, fécondation, remplissage).

« En termes de performances à la récolte, le rendement était plus élevé sur la parcelle de 10 hectares où Best-a avait été appliqué. Nous y avons obtenu 112 quintaux par hectare contre

104 quintaux là où nous n’avions pas positionné le produit. Détail remarquable, sur la partie en non-labour les résultats ont été encore meilleurs avec encore 100 kg supplémentaires. »

En France, au Brésil, aux Etats-unis, comme en Ukraine, les résultats démontrés par Best-a ne se démentent pas : avec une consommation d’eau réduite de 10 à 20 %, l’augmentation moyenne des rendements constatés sur 100 essais se monte à + 5,7 q/ha. Une moyenne qui cache de véritables exploits pouvant atteindre +2 tonnes par hectares. Pour exemple, à l’issue des deux derniers salons Innov-Agri, les performances mesurées post-récolte sur l’essai présenté par Elicit Plant ont ainsi respectivement atteint + 21,8 q/ha (2022) et + 15,4 q/ha (2023) !

 

Les phytostérols, efficaces et simples à utiliser

A cause de la guerre, Volodymyr Yakovenko n’a pas encore vendu sa récolte. « Aujourd’hui, il nous est difficile d’estimer à quel point l’utilisation du Best-a nous sera profitable économiquement. Cependant je pense qu’il y aura forcément un gain, même aux cours actuels. Je suis en tout cas très satisfait du résultat et j’ai apprécié la facilité d’utilisation du produit. Je prévois de l’utiliser à nouveau l’année prochaine, et aussi de tester les autres produits disponibles. »

EliSun-a (pour tournesol) et EliGrain-a (pour orge de printemps) sont tous les deux homologués en Ukraine. L’un et l’autre ont démontré des performances exceptionnelles avec des gains pouvant atteindre + 10 % quelles que soient les conditions pédoclimatiques.