Best-a : de l’espoir pour l’avenir

Gestion du stress hydrique des cultures : quels enjeux pour Océalia ?
Le stress hydrique est un enjeu majeur pour Océalia, qui opère sur la Nouvelle-Aquitaine. La coopérative aux 10 000 adhérents se donne pour objectif d’accélérer la transition agro-écologique de ses exploitations. Parmi les mesures : allonger les rotations et chercher de nouvelles filières “pour avoir un concept d’agriculture de troisième voie plus économe en intrants et plus rémunérateur pour les adhérents”, explique Philippe Merle. L’allongement des rotations demandera plus de cultures d’été, toutefois l’accès à l’eau est limité.
Océalia a vu dans le Best-a un moyen de répondre à ces enjeux dans les zones irriguées, voire dans des zones sèches.
Vers l’autonomie protéique
Philippe Merle constate que la coopérative teste régulièrement des biostimulants, avec des résultats plus ou moins probants. Il considère que l’action des phytostérols tels qu’ils ont été travaillés est un concept très intéressant. C’est pour cela qu’Océalia a décidé de les mettre en essai en mico-parcelles et en plein champs dès la première année.
Des résultats prometteurs
Pour le directeur du Pôle, les premiers résultats semblent prometteurs. Durant l’année 2021, le stress hydrique n’a quasiment pas existé, et déjà des résultats sont visibles au rendement.
Objectifs à venir pour Océalia : diffuser l’utilisation du Best-a plus largement auprès des adhérents, en soja comme en maïs.