Après un début d’année marqué par un déficit hydrique en février et mars dans plusieurs régions céréalières, quelques pluies récentes ont légèrement amélioré la situation en surface. Mais selon les données du Climate Prediction Center de la NOAA, une grande partie de la France a reçu moins de 50 % de sa pluviométrie normale en mars, et l’humidité des sols est désormais largement déficitaire. Les prévisions annoncent un retour de conditions anticycloniques pour les semaines à venir, avec des températures supérieures aux normales. Le stress hydrique pourrait donc s’intensifier en fin de cycle — une période critique où les pertes de rendement peuvent être majeures. À cela s’ajoute un défaut d’enracinement lié au retard des semis et à une structure de sol souvent dégradée, qui limite la capacité des plantes à puiser l’eau en profondeur.
EliGrain-a : protéger vos rendements en blé alors que le stress hydrique s’installe
Sécuriser les rendements des céréales à paille en condition de stress hydrique est désormais possible grâce à EliGrain-a, dernier-né de la gamme Elicit Plant. Mettant à profit l’action des phytostérols, cette solution innovante stimule le métabolisme des plantes pour qu’elles optimisent leur usage de l’eau. En application foliaire, un seul passage protège les cultures des effets du manque d’eau jusqu’à la récolte, préservant ainsi les rendements.


@Météo France
Rapport à la moyenne mensuelle de référence 1991-2020 des cumuls de précipitations en France
Février 2025

@Météo France
Pluies : écart à la moyenne de référence 1991-2020
Mars 2025
Un mois très pluvieux au Sud, très sec au Nord
Tendances à 3 mois | Avril à juin 2025 :
À l’échelle du trimestre, le scénario plus chaud que la normale est le plus probable pour la France,
et plus généralement de l’Europe au bassin Méditerranéen. Toutefois, des épisodes ponctuels plus frais ne sont pas exclus.
🌡️ Tendances pour les températures | Avril à juin 2025
Pour le trimestre, le scénario plus chaud que la normale est le plus probable pour la France,
et plus généralement de l’Europe au bassin Méditerranéen. Toutefois, des épisodes ponctuels plus frais ne sont pas exclus.
Probabilités de scénario de températures pour la France métropolitaine :
Plus chaud que les normales de saison
Conforme aux normales de saison
Plus froid que les normales de saison
Selon le moment du cycle de développement de la culture auquel il survient, le manque d’eau peut sévèrement affecter les rendements, mais aussi la qualité des céréales récoltées. Un stress hydrique pendant la phase de remplissage des grains, entre fin mai et début juillet, peut ainsi entraîner des conséquences sur leur poids spécifique et leur teneur en protéines. Des études en climat tempéré ont montré qu’un déficit d’eau peut réduire le rendement d’une culture de blé de 30 à 70 %.
Face au stress hydrique, EliGrain-a d’Elicit Plant, une solution prometteuse
Certaines pratiques agronomiques limitent les effets du stress hydrique des céréales à paille, comme la réduction du travail du sol, l’implantation d’intercultures ou les stratégies d’esquives. L’irrigation, de plus en plus coûteuse, n’est pas forcément accessible, ou très contrainte. Quant à l’amélioration variétale, elle prend du temps. Et même s’il est important d’activer tous les leviers disponibles pour donner à la culture toutes les chances de passer les caps difficiles, leur efficacité n’est pas garantie. Que reste-t-il dans la boîte à outils de l’agriculteur ? Elicit Plant y a récemment introduit EliGrain-a, qui exploite avec succès les propriétés des phytostérols, molécules naturellement présentes dans les plantes. Appliqué en foliaire, EliGrain-a aide les céréales à mieux résister au stress hydrique.
Des rendements optimisés et une meilleure résistance au stress hydrique
Les phytostérols contenus dans EliGrain-a stimulent le métabolisme des végétaux et activent leurs mécanismes de résistance physiologique. Appliquée en préventif, dès maintenant, dustade 1 nœud – dernière feuille étalée (BBCH 31-39) pour le blé, la solution renforce la capacité des plantes à résister aux périodes de manque d’eau jusqu’à la récolte. L’efficacité du produit dépend en grande partie de cette application précoce, avant que les premiers signes visibles de stress n’apparaissent.
Elle stimule la croissance racinaire et foliaire et réduit la sénescence en cas de stress hydrique, préservant ainsi la biomasse aérienne. Un passage, à 1 l/ha, suffit alors à :
- Conserver la fertilité des épis durant les périodes de sensibilité au stress hydrique ;
- Préserver le niveau de remplissage des grains et le poids de mille grains ;
- Maintenir les critères de qualité des grains : calibrage et teneur en protéines ;
- Avoir une meilleure efficience d’utilisation de l’eau avec une diminution de – 20 % du besoin en eau ;
- Sécuriser les rendements avec des gains significatifs, confirmés en conditions de manque d’eau.
Pour encore plus de souplesse d’emploi, EliGrain-a peut être mélangé avec certains produits tels que les fongicides de la famille des SDHI, les triazoles ou les strobilurines. EliGrain-a, conditionné en bidons de 5 l, est distribué par BASF. Face à l’installation du stress hydrique et à l’arrivée des stades sensibles, c’est maintenant qu’il faut agir.
Adapter le stade d’application d’EliGrain-a selon votre contexte hydrique
- Contexte très fortement séchant (sol sec, faibles précipitations, faible réserve utile, sol argilo-calcaire superficiel) → appliquer à 1 nœud (BBCH 31)
- Contexte séchant ou classique (sols à réserve utile intermédiaire, sablo-limoneux, argilo-limoneux, argilo-calcaires profonds) → appliquer à 2 nœuds (BBCH 32)
- Contexte peu ou pas séchant (sols à forte réserve utile, limoneux profonds) → privilégier l’application au stade dernière feuille étalée (DFE)
Conseil technique
Si un stress hydrique est imminent, appliquez dès 1 nœud (BBCH 31).
Si les premiers symptômes sont déjà visibles (feuilles altérées), ne pas appliquer.
En situation irriguée, l’application peut être réalisée au stade 2 nœuds, sauf en cas de stress précoce.