Stress hydrique

BEST-a œuvre pour la stabilité du maïs

Avec des résultats probants sur le maïs, plus économe en eau et résistant, le biostimulant BEST-a s’inscrit dans la dynamique du Varenne de l’eau et de l’adaptation au changement climatique. Il contribuera à concrétiser une feuille de route décisive pour l’avenir de l’agriculteur.

BEST-a œuvre pour la stabilité du maïs

Vaste sujet que celui de la résilience du modèle agricole face aux aléas climatiques. Pour conjurer les prévisions alarmistes, les pouvoirs publics ont lancé, en mai 2021, le Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement climatique. Les travaux, confiés à trois groupes, déboucheront en janvier sur une feuille de route opérationnelle. Objectif : protéger et adapter notre agriculture face aux défis du changement climatique. Les mots “Varenne de l’eau” sous-entendent un intérêt particulier pour les problèmes causés par les sécheresses récurrentes. Mais n’oublions pas l’”Adaptation au changement climatique”, celui-ci augurant de devoir relever de nombreux défis : résurgences de maladies, coups de gel et intempéries diverses, salissements problématiques, qualité des récoltes… Une approche globale donc, qui donne l’occasion à Elicit Plant, membre actif de la recherche sur les biostimulants et développeur de la solution BEST-a, d’apporter sa pierre à l’édifice.

 

Danger sur la pérennité des productions !

Les alertes se multiplient depuis plusieurs années. Les dangers qui planent sur la pérennité des productions font l’objet d’une surveillance renforcée. François Hervieu, chef de service régional de l’Alimentation en Nouvelle Aquitaine (DRAAF), en témoigne : « Au-delà des problèmes de sécheresse et de la thématique du stockage des eaux, regardés de près par un autre service de la DRAAF, le service de l’Alimentation constate les divers effets des aléas climatiques sur l’état sanitaire des cultures, en général. » Du gel aux inondations qui fragilisent les plants, en passant par la sécheresse, auxquels s’ajoutent les infestations (ambroisie, datura), le salissement et les maladies, la gestion sanitaire se complexifie. C’est le cas aussi pour le maïs, dont la Nouvelle Aquitaine est l’un des principaux bassins de production.

« On parle non plus seulement d’aléas, mais de chocs climatiques, poursuit François Hervieu. Pour y faire face tout en préservant l’environnement, les intrants et leurs usages, y compris le segment des biostimulants, auront leur rôle à jouer. »

 

BEST-a : un atout résilience pour le maïs

BEST-a, biostimulant développé par Elicit Plant, présente certes un intérêt pour optimiser l’utilisation de l’eau disponible (pluie ou irrigation), en réduisant l’évapotranspiration. Mais ses avantages, dans la perspective du Varenne de l’eau et de l’adaptation au changement climatique, ne se réduisent pas à la lutte contre la sécheresse. « Avec ce type de produits, on coche potentiellement plusieurs cases, liées aux thématiques à enjeux », souligne François Hervieu. « La fermeture des stomates sur les plants de maïs, qui réduit l’évapotranspiration, retarde aussi l’action des maladies et réduit leur intensité. Le renforcement de la physionomie d’un plant de maïs le rend donc généralement moins sensibles aux attaques en tous genres. » Un cercle vertueux, qui entre dans la logique Ecophyto, laquelle cherche à préserver l’environnement et la qualité de la ressource en eau, en maintenant le potentiel des cultures.