Même s’il ne dure que quelques jours, un manque d’eau peut suffire à impacter le fonctionnement d’une plante cultivée et pénaliser le rendement final de la parcelle. Certaines espèces sont capables de tolérer le stress hydrique en déployant différentes stratégies. Mais celles-ci mobilisent de l’énergie souvent au détriment des composantes du rendement.
Découvrez comment les végétaux modifient leur physiologie pour supporter le manque d’eau dans le livre blanc dédié au stress hydrique des cultures.
Génétiques ou agronomiques, les leviers existent
Les semenciers cherchent à identifier des gènes, si ce n’est de résistance, au moins de tolérance au manque d’eau, car pour un agriculteur, le choix d’espèces et de variétés moins sensibles au stress hydrique est le premier levier à actionner.
L’eau est un élément vital pour toutes les plantes, mais de manière plus ou moins indispensable selon son stade de croissance. Ce qui laisse entrevoir d’autres leviers : le décalage de la date de semis, la réussite du désherbage ou le travail du sol. Évidemment, dans les zones où l’irrigation est disponible, le recours à un ou plusieurs tours d’eau s’avère une solution efficace… à condition de les positionner au bon moment et de disposer de la ressource nécessaire.
Comment aider la plante à supporter un déficit d’eau ?
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Les phytostérols, une solution prometteuse
Autre piste étudiée : l’utilisation de biostimulants. Ces solutions aident les plantes à lutter contre différents stress abiotiques dont le manque d’eau. Parmi les spécialités qui ont déjà fait leur preuve : BEST-a d’Elicit Plant, un biostimulant de nouvelle génération, composé de phytostérols.
Le stress hydrique n’est pas une fatalité. Des solutions permettent d’en atténuer les effets pour préserver le rendement, la qualité et la rentabilité des cultures. La clé de la réussite passe, comme souvent, par une combinaison de pratiques que vous pouvez découvrir en parcourant le livre blanc : Changement climatique : 4 bonnes pratiques pour produire quand l’eau vient à manquer.