Maïsiculteurs et céréaliers sur 240 hectares dans le Sud-Ouest, Stéphanie Azéma et son fils, Thomas, découvrent Best-a à Innov-Agri, en 2022. Le salon se tient, cette année-là, tout près de chez eux, en Haute-Garonne (31). Ils sont curieux alors d’en apprendre davantage sur l’action protectrice des phytostérols en cas de stress hydrique. Ils vont donc à la rencontre de l’équipe Elicit Plant, et acceptent de participer au jeu concours qu’elle propose. Surprise, après tirage au sort, les voilà qui remportent le prix !
« La société Elicit Plant nous a proposé de mettre en place un essai, raconte Stéphanie Azéma. Accompagnés par ses équipes, nous avons ainsi implanté deux variétés tardives de maïs sur 50 hectares, sur lesquelles nous avons appliqué Best-a. » Une parcelle témoin de 8 hectares est également semée et menée de façon identique, afin de pouvoir comparer les résultats.
Une parcelle homogène et des épis dépourvus de “bouchons”
« Au départ, il est vrai que nous avons accepté sans trop y croire, mais des résultats incroyables ont été visibles dès les premiers mois », témoignent Stéphanie et son fils.
Tous les deux sont d’abord surpris par l’homogénéité de la parcelle protégée par la solution à base de phytostérols. Thomas inspecte régulièrement les plantes : les panouilles sont bien formées et dépourvues de “bouchons”, un phénomène caractéristique de la non-fécondation, de l’avortement ou du mauvais remplissage des grains au sommet de l’épi.
La formation de ces bouchons est souvent liée à un ou plusieurs accidents climatiques à des stades clés de la croissance du maïs. Or, chez Thomas et Stéphanie Azéma, rien de tel : sur les 50 hectares traités, les plantes n’ont manifestement pas souffert du stress hydrique.
À la récolte, 149,9 quintaux sur la partie traitée avec Best-a
« Nous étions curieux et même impatients de pouvoir calculer les rendements pour chacune des parcelles, attestent avec enthousiasme la mère et le fils. Nos attentes se sont confirmées, car les gains ont été exceptionnels. En fait, nous n’avons pas eu d’aussi bons résultats depuis une dizaine d’années ! »
149,9 quintaux sont ainsi récoltés sur la partie traitée avec Best-a, contre 120 quintaux au niveau du témoin. « Economiquement, cela a permis de dégager entre 500 et 530 € de plus à l’hectare », ajoute Stéphanie.
Le duo affirme être prêt à renouveler l’expérience sur maïs, mais aussi sur d’autres cultures. Thomas, dont l’objectif est de reprendre une exploitation, indique qu’il intégrera les phytostérols Elicit Plant à ses itinéraires techniques : « Demain, j’utiliserai ce produit naturel pour pouvoir contrer les aléas climatiques », certifie avec enthousiasme le jeune homme.